On arrive à Tual, capitale des îles Kei.
Avec Fadur, le javanais qui va travailler à la mine de Timika
on descend ramener des baksos pour les autres.
On remonte à bord, des sacs plastiques plein les mains
et on se pète la panse en regardant défiler
les épaves chinoises rouillées s'enfoncer dans la baie.